Auteur/autrice : Séverine Augry
Mise à pied disciplinaire, mise à pied conservatoire : quelle différence ?
Heures supplémentaires : que disent les juges ?
Licenciement abusif : Comment applique-t-on le barème Macron ?
La représentativité syndicale : quelle évolution en 2021 ?
La santé, la sécurité et le Comité Social et Économique (CSE) : impact de la loi du 2 août 2021
La Base de données économiques et sociales (BDES) : obligatoire ou optionnelle ?
La base de données économiques et sociales est couramment appelée BDES. Elle vient en remplacement de la base de données unique qui a donc été supprimée au moment de la création de la BDES. En effet, une base de données, initialement appelée base de données unique et maintenant base de données économiques et sociales (BDES) est obligatoire depuis le 14 juin 2015 dans les entreprises de 50 à 300 salariés et depuis le 14 juin 2014 dans les entreprises de plus de 300 salariés. Cette BDES est un véritable enjeu pour les services RH mais aussi pour les représentants de salariés car elle comporte de nombreuses informations qui permettent la mise en œuvre d’un dialogue social fécond. Ce dialogue se matérialise par des informations/consultations à destination des représentants mais aussi une négociation au sein des entreprises voire même des établissements.
Les congés pour évènements familiaux
Les représentants de proximité : désignation, rôle, missions concrètes…
Qui sont ces nouveaux acteurs que les ordonnances Macron en date du 22 septembre 2017 ont créés ? On les voit émerger dans de nombreuses entreprises, mais ils ont un rôle qui varie d’une entreprise à l’autre, et il n’est pas toujours facile de comprendre ce qu’ils ont le droit de faire ou non, dans l’enceinte de l’entreprise. La loi reste très imprécise sur ces nouveaux acteurs et il est attendu que les partenaires sociaux en dessinent eux même les contours, ce qui peut créer des incertitudes.
Le congé de paternité et d’accueil de l’enfant
Les jeunes parents d’un nourrisson bénéficient, l’un et l’autre, d’un congé pour accueillir convenablement le bébé. La mère profite d’un congé de maternité et le père, quant à lui, peut jouir d’un congé de paternité.